dimanche 24 mai 2015

Ah ! que de belles manières ces choses la sont dites !



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La vie est comme un arc en ciel. Il faut de la pluie et du soleil pour en voir les couleurs.

Jules Renard

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mercredi 13 mai 2015

Comment tout peut s'effondrer

                                               

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Et si notre civilisation s effondrait ? 

Non pas dans plusieurs siècles, mais de notre vivant. Loin des prédictions Maya et autres eschatologies millénaristes, un nombre croissant d auteurs, de scientifiques et d institutions annoncent la fin de la civilisation industrielle telle qu elle s est constituée depuis plus de deux siècles. Que faut-il penser de ces sombres prédictions ? Pourquoi est-il devenu si difficile d éviter un tel scénario ?
Dans ce livre, Pablo Servigne et Raphaël Stevens décortiquent les ressorts d un possible effondrement et proposent un tour d horizon interdisciplinaire de ce sujet fort inconfortable qu ils nomment la « collapsologie ». En mettant des mots sur des intuitions partagées par beaucoup d entre nous, ce livre redonne de l intelligibilité aux phénomènes de « crises » que nous vivons, et surtout, redonne du sens à notre époque. Car aujourd hui, l utopie a changé de camp : est utopiste celui qui croit que tout peut continuer comme avant. L effondrement est l horizon de notre génération, c est le début de son avenir. Qu y aura-t-il après ? Tout cela reste à penser, à imaginer, et à vivre...


Source ci-dessous :



« Tout va s’effondrer. Alors... préparons la suite »

7 mai 2015 Entretien avec Pablo Servigne 


Le pic pétrolier, le climat qui se dérègle, la biodiversité qui disparaît… Les scientifiques nous bombardent de nouvelles alarmistes, mais que faire ? Prenons-les enfin au sérieux, préconise Pablo Servigne, co-auteur de « Comment tout peut s’effondrer ». Mais pas de panique : même si le chemin n’est pas facile, il faut l’accepter, pour commencer à préparer le monde d’après.
Sur quels faits vous appuyez-vous pour affirmer que l’effondrement est possible ?
Nous avons rassemblé un faisceau de preuves qui viennent des publications scientifiques. Les plus évidentes sont liées au fait que notre civilisation est basée à la fois sur les énergies fossiles et sur le système-dette.
Le pic de pétrole conventionnel a eu lieu en 2006-2007, on est entrés dans la phase où l’on exploite le pétrole non conventionnel : sables bitumineux, gaz de schiste, pétroles de schiste, etc. Déjà, c’est un signe qui ne trompe pas.
Ensuite, il y a un siècle, on investissait un baril de pétrole et on en retirait cent. On avait quatre-vingt-dix-neuf barils de surplus, on nageait dans le pétrole. Un siècle après, ce taux de retour est descendu à dix ou vingt, et cette diminution s’accélère. Or, en-dessous d’un certain seuil, entre quinze et vingt, c’est dangereux pour une civilisation. Pour fonctionner, notre société a besoin de toujours plus d’énergie. Or il y en a toujours moins. Donc à un moment, il y a un effet ciseaux.
En même temps, pour fonctionner, notre société a besoin de toujours plus de croissance. Pendant les Trente glorieuses, les deux-tiers de notre croissance faramineuse venaient des énergies fossiles. Sans énergies fossiles il n’y a plus de croissance. Donc toutes les dettes ne seront jamais remboursées, et c’est tout notre système économique qui va s’effondrer comme un château de cartes.
Dans ce schéma, quelle place a la crise écologique ?
Dans notre livre, on prend la métaphore de la voiture. Il y a la question du réservoir d’essence : à un moment il sera vide. C’est ce que je viens d’expliquer. Et il y a un autre problème : la voiture va de plus en plus vite et sort de la route. La science s’est rendue compte que le climat s’est emballé, que la biodiversité s’effondre littéralement. On dépasse des seuils qu’il ne faudrait pas dépasser sous peine de déstabiliser les écosystèmes qui nous maintiennent en vie. La voiture risque de se prendre des arbres. Si on va au bout, certaines études montrent que l’on peut vraiment éliminer presque toute vie sur Terre. On en est à ce point là.
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Pablo Servigne
Donc la crise écologique est beaucoup plus grave que les crises économiques. Certaines civilisations anciennes se sont effondrées économiquement et politiquement. Quelques siècles après, ça renaît. Et puis il y a des civilisations qui se sont effondrées pour des cause écologiques. L’effondrement de l’environnement provoque l’effondrement de la civilisation. Là, en revanche, la civilisation ne repart pas parce que le milieu est épuisé, mort.
Parmi toutes ces catastrophes, quelle est celle qui risque de déclencher les autres ?
Ce qui est important, pour l’étincelle qui déclenchera les autres, c’est la rapidité. Et là, c’est le système financier qui est le plus fragile. Les effondrements financiers sont très rapides, même s’ils sont moins graves. Le problème, c’est qu’ils peuvent déclencher un effondrement économique, donc du commerce physique, qui peut déclencher un effondrement politique, et plus tard un effondrement des institutions sociales, de la foi en l’humanité, de la culture, etc.
On utilise plutôt les mots « crise » ou « catastrophe » : pourquoi avoir choisi de parler d’« effondrement » ?
On a quand même utilisé les mots catastrophe et crise. Catastrophe, on l’aime bien parce qu’il est provocateur. En fait nous sommes devenus catastrophistes. Cela ne veut pas dire qu’on souhaite les catastrophes ou qu’on arrête de lutter contre. Cela veut juste dire qu’on est lucides et qu’on les accepte.
Le mot crise, lui, ne convient pas parce qu’il sous-entend que l’on peut revenir à l’état de normalité qu’on avait avant la crise. Or ce n’est pas le cas. Donc parler de crise est un abus de langage, même si on l’a quand même un peu utilisé dans le livre.
Effondrement est un mot qui nous plaît bien parce qu’il est très large. Il permet d’être aussi bien du côté de la raison, de parler des rapports scientifiques, que de toucher l’imaginaire. Quand on parle d’effondrement, les gens voient Mel Gibson avec un fusil à pompe, ou des films de zombies. Mais il y a beaucoup d’autres choses qui peuvent émerger. Donc notre travail, c’est de donner chair à ce mot d’effondrement. D’arriver à décrire ce à quoi il pourrait correspondre dans notre société, pour la génération présente, en-dehors des mythes hollywoodiens.
Et cela permet aussi de se rendre compte que c’est un processus.
Oui. Dans notre imaginaire, on a la notion d’apocalypse. Du jour au lendemain, il n’y a plus rien et c’est la barbarie. En fait non. Quand on parle d’effondrement, on parle aussi bien d’une catastrophe financière qui arrive en quelques heures, que d’une catastrophe climatique qui arrive en quelques décennies voire en quelques siècles. Toutes les grandes civilisations qui se sont effondrées ont mis des dizaines voire des centaines d’années à le faire.
Si ça s’effondre, qu’est-ce qui s’effondre exactement ?
On a creusé cette question en partant de ce qui était vulnérable. Aujourd’hui dans nos sociétés, on a une économie, des lignes d’approvisionnement, un système financier, des structures de flux – tout ce qui est système alimentaire, système d’approvisionnement en eau, système médical. Tout cela est devenu extrêmement fragile parce que complexe, inter-connecté. Donc ce qui va s’effondrer, c’est tout ce qui dépend des énergies fossiles. Cela inclut les énergies renouvelables et le nucléaire, car pour les fabriquer, il faut des énergies fossiles. Quand on se rend compte que quasiment toute notre nourriture dépend du pétrole, qu’est-ce qu’on va manger ? Ce qui va s’effondrer est absolument gigantesque.
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Des maisons au Hameau des buis
Une autre manière de répondre est que plus un pays est riche et industrialisé, et hors sol, plus il va tomber de haut. Aux périphéries, cela va être beaucoup moins grave et il va y avoir des jeunes pousses qui vont pouvoir relancer une civilisation. Par exemple, pendant la crise dessubprimes de 2008, il y a eu trente-cinq pays qui sont entrés en émeutes de la faim, juste à cause d’une fluctuation des matières premières. Au Mozambique, ils n’étaient pas connectés au système mondial économique, et ils n’ont pas subi cette crise.
Est-il possible d’éviter cet effondrement ?
Non, c’est un des grands messages du livre. L’éviter voudrait dire qu’on continue notre trajectoire de croissance. Or non seulement ce n’est plus possible (on l’a montré avec la fin des énergies fossiles), mais si on continue de croître, le réchauffement climatique et la destruction de la biodiversité provoqueront un effondrement de notre civilisation. L’autre voie pour éviter un effondrement serait de bâtir une économie qui n’ait pas besoin de croissance. Mais sans croissance, la civilisation industrielle actuelle s’effondre. Donc de tous les côtés, ça s’effondre. On est cernés.
La posture du livre est de l’accepter. Il y a un effondrement, d’accord, on respire. On apprend à gérer sa raison, à gérer ses émotions, à gérer son rapport avec les autres, avec l’avenir. J’ai dû renoncer à des rêves que j’avais pour moi, mais j’ai dû renoncer à des rêves que j’avais pour mes enfants. C’est très douloureux. Une piste de sortie, c’est que l’effondrement peut être vu comme une opportunité incroyable d’aller vers quelque chose qu’on peut commencer à construire dès maintenant.
Est-ce qu’on le saura, quand l’effondrement arrivera ?
Vous connaissez la fable de la grenouille ? Quand on met une grenouille dans l’eau bouillante, elle saute. Quand on la met dans l’eau froide et qu’on fait peu à peu monter la température, elle reste jusqu’à en mourir parce qu’elle ne se rend pas compte que l’eau devient bouillante… Notre intuition est que peut-être, en Grèce, en Espagne, en Syrie, l’effondrement a déjà commencé. Nous, on n’est pas encore touchés parce qu’on est riches.
Comment êtes-vous arrivé à concentrer vos recherches sur l’effondrement ?
Un spécialiste du pic pétrolier, dans un colloque, a un jour parlé de ce qu’il appelle des « Oh my God points » [des points « oh mon Dieu » - NDLR]. Ce n’est pas un choc de la tête, c’est un choc du ventre et du cœur et après, plus rien n’est pareil.
Mon premier, c’était le pic pétrolier. J’ai vu un documentaire sur comment Cuba a survécu au pic pétrolier, et ça m’a tellement bouleversé que j’y suis allé pendant deux mois. Un autre grand« Oh my god point » est ma rencontre avec Dennis Meadows, le co-auteur du rapport du club de Rome [Rapport sur les limites de la croissance, 1972 - NDLR]. Son message est clair : il est trop tard pour le développement durable, il faut se préparer au choc, et construire des petits systèmes résilients parce que l’effondrement est là. Cela fait quarante ans qu’il dit cela, personne ne l’écoute. Le rapport prévoit un effondrement pour le début du 21e siècle et c’est ce qu’on est en train de vivre.
Pourtant, la grande majorité des gens ne voient pas l’effondrement.
Ils sont dans le déni, parce que c’est trop violent.
Après plein de gens savent. C’est le grand problème de notre époque : on sait mais on ne croit pas. Les mythes sont toujours plus forts que les faits. Notre mythe, c’est la croissance infinie, la techno-science qui domine la nature. Si on trouve un fait qui ne colle pas avec ces mythes, on le déforme pour le faire rentrer. On dit qu’on trouvera de nouvelles énergies, par exemple.
C’est pour cela qu’avec ce livre on est sur le terrain de l’imaginaire, qui est beaucoup plus fort que les faits, et structure la manière de donner sens au monde. On dit que l’utopie a changé de sens : les utopistes sont aujourd’hui ceux qui croient qu’on peut encore continuer comme avant.
Accepter l’effondrement, c’est comme accepter la mort d’un proche. Il faut dépasser les phases du deuil : le déni, le marchandage, la colère, la tristesse et l’acceptation. Beaucoup de gens sont encore dans le déni, mais il y en a aussi dans la tristesse, dans la colère. Et il y en a qui sont dans la joie, parce qu’ils sont déjà dans l’acceptation.
A la fin de l’année se déroulera une grande conférence sur le climat à Paris. N’est-ce pas la preuve que nos élites politiques ne nient plus l’effondrement et cherchent des solutions ?
Non, je pense que les politiques n’y croient pas. C’est bien que des gens se mettent autour de la table pour parler de climat, cela a au moins une vertu pédagogique. Mais parler de solutions, c’est tordu. Cela laisse la porte ouverte à tous les techno-béats qui sont là à trépigner avec la géo-ingénierie. Et cela empêche de se rendre compte que le changement climatique, même si tout s’arrête d’un coup, c’est déjà trop tard, il s’est emballé.
Mais on peut limiter les dégâts, c’est pour cela que c’est bien de mener des négociations. Et surtout on doit le faire parce qu’aujourd’hui, il n’y a aucun grand conflit international. C’est le moment idéal pour des négociations.
Que peut-on faire d’autre au niveau politique pour faire face à l’effondrement ?
On est dans des paradoxes, car si quelqu’un au niveau politique commence à parler d’effondrement cela va créer une panique des marchés financiers, qui va provoquer l’auto-réalisation de l’effondrement. Il va provoquer ce qu’il voulait éviter.
En revanche, on peut agir au niveau micro-politique. Avec l’effondrement, les macro-structures vont souffrir. On va retourner à des sociétés beaucoup plus locales. Le mouvement de la transition est en train de redonner du pouvoir aux gens au niveau municipal. C’est cette échelle qui permet de passer à l’action rapidement.
Vous dites que pour décrire l’effondrement, les faits scientifiques ne suffisent pas. Il faut aussi avoir l’intuition qu’il arrive. Ceux qui portent des alternatives sont-ils ceux qui ont cette intuition ?
Pour beaucoup, oui. Il y a des millions d’individus dans le monde qui sont déjà dans le monde post-pétrole, post-effondrement : le monde d’après.
Le problème est que si on n’a pas encore mis les lunettes de la transition, on ne voit pas ces initiatives. On ne comprend pas pourquoi tel paysan a développé la traction animale. Or dans vingt ans, l’agriculture industrielle se sera effondrée et tout le monde sera à la traction animale.
Il faut se mettre en transition, c’est une opportunité de changer le monde. Cela veut dire construire des « réseaux des temps difficiles ». C’est retrouver le lien aux autres, à la nature, avec nous-mêmes. C’est accepter l’interdépendance de tous les êtres. Quand une civilisation s’effondre, les bâtiments peuvent s’effondrer, il reste les liens humains.
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Les yourtes de l’école du Hameau des buis
A quoi ressemblerait ce monde d’après, ce monde en transition ?
Ce n’est pas à moi de répondre à cette question. Ce qu’on donne dans ce livre, ce sont des outils pour qu’avec votre imaginaire, vous forgiez votre monde d’après. Il sera différent d’un pays à l’autre, d’une personne à l’autre, c’est la mosaïque de l’effondrement. Je ne sais pas si on arrivera dans un grand sursaut collectif à en atténuer les effets, ou si on ira vers plus de guerres, de famines, de catastrophes. Mais je sais qu’il y a un grand chemin intérieur à faire, qu’on a déjà commencé et qu’on est nombreux.
Ici nous sommes au Hameau des buis, une communauté installée dans la campagne ardéchoise. Avoir fait le choix d’habiter ici, est-ce une façon d’anticiper l’effondrement ?
J’aimerais dire non, mais en fait je dois avouer qu’au fond de moi, j’ai fait cela pour quitter la ville parce que je sens qu’à ville, cela va être de plus en plus difficile. Un grand exode urbain a commencé. Plein de jeunes, de néoruraux, de « nimaculteurs » - non issus du monde agricole - y participent.
Et la transition, comment l’amorcez-vous ici ?
Ici, au Hameau des buis, on n’est pas du tout autonomes en énergie, en alimentation, etc. Quand je suis arrivé, j’ai fait ma conférence et cela a provoqué des « Oh my god points ». On a entamé des travaux pour être autonomes en eau et en alimentation. On se dit qu’il va falloir qu’on ait des chevaux pour se débrancher de la voiture.
Pour moi, la transition c’est l’histoire d’un grand débranchement du système industriel. Se débrancher avant qu’il ne s’effondre et nous emporte avec. Car pour l’instant, si tout s’effondre on est mort : je ne sais pas vivre sans voiture et sans supermarché.
- Propos recueillis par Marie Astier

mardi 12 mai 2015

L'Héritage des Rois

Photo de Didier Coilhac.

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Jules Renard

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  • Jérôme Manierski - Teaser "L'Héritage des Rois" - Pro 

    vimeopro.com/user23877233/jerome-manierski/video/83026100
    Teaser "L'Héritage des Rois". 1 year ago. Teaser du roman de Jérôme Manierski.Réalisation : Marc Bielli. Also post on Facebook. Comment using... Facebook ...
  • Le mystère du château de Chambord. - Didier Coilhac 

    didier-coilhac.com/Francois.html
    Le Roi François 1er est LE Roi de la Renaissance française. De 1515 à 1547, il a combattu son adversaire Charles Quint et établit le français ... Il y a forcément une raison. ... De gauche à droite: le cinéaste Marc Bielli, les écrivains Jérôme Manierskiet ... Le teaser du roman de Jérôme Manierski : « L'héritage des Rois ».


  • JÉRÔME MANIERSKI a publié un roman initiatique "A l'aube du 7ème sens" sur la nature subtile de l'être humain et ses possibilités inexplorés. Dans le concours "Femme actuelle" 2008, il a obtenu le "Coup de coeur" de Paulo Coelho: "Histoire très originale, personnages attachants".
    Ensuite, il a publié "Ces mensonges qui arrangent" sur les secrets cachés de notre société. Je peux vous dire qu'il n'y a pas beaucoup d'auteurs qui osent évoquer ces sujets-là !
    Aujourd'hui, il a terminé l'écriture de "L'Héritage des Rois" dont l'intrigue ésotérique reprend mon "Secret de François 1er". Il m'avait envoyé les chapitres au fur et à mesure qu'il les écrivait. Jérôme a un don pour écrire "cinématographiquement" ; il déroule avec efficacité les péripéties de son histoire. Son roman est exemplaire car il est truffé d'éléments architecturaux précis, qui existent réellement. C'est vraiment éducatif. Là, il a imprimé des exemplaires en auto-édition pour les offrir à ses proches. J'en ai un !!! 600 pages de bonheur. Il cherche un éditeur pour la véritable publication de son livre.
    A suivre donc...

    • Julien Harrier Très beau titre qui inspire à se mettre en quête de ceux qui aujourd'hui incarnent la Royauté et qui donc sont investis de son pouvoir ésotérique et exotérique.

    • Didier Coilhac ... contre l'indifférence coupable de certains autres.

    • Julien Harrier Absolument

    • Hyssa Dagober TOUT à fait..

    • Didier Coilhac https://www.facebook.com/notes/j%C3%A9r%C3%B4me-manierski/nouveau-roman-lh%C3%A9ritage-des-rois-publi%C3%A9-en-auto-%C3%A9dition-avril-2015/10153234669237674?fref=nf


       Un thriller historique qui vous propulsera cinq siècles en arrière dans les coulisses de la Renaissance, afin de vous faire découvrir le secret de ses châteaux.
      1518. Léonard de Vinci livre sa dernière œuvre au roi François Ier : un projet de codage architectural destiné à mettre les générations futures sur la piste d’un précieux héritage royal.
      Cinq siècles plus tard, Yann Cardin, géobiologue passionné d’architecture sacrée, découvre des irrégularités dans les ornements du château de Chambord, ainsi que sur les plans de construction. A mesure qu’il décrypte leur signification, une ombre menaçante grandit sur ses pas : une organisation malveillante prête à tout pour préserver ce secret à jamais enterré.
      Assisté dans ses recherches par ses amis, Yann se lance dans une périlleuse course contre la montre pour tenter de découvrir la finalité de ce jeu de piste aux dimensions inimaginables...

      Pour visualiser la bande-annonce, suivre le lien :vimeo.com/83026100 (taper "vimeo manierski" dans le moteur de recherche de votre navigateur)

      Ouvrage publié en auto-édition et disponible sur demande directement adressée à l'auteur via son site internet www.manierski.com (formulaire de contact)

    • Marc Bielli J'en ai un exemplaire... très grand roman d'aventure !

    • Didier Coilhac " Chers lecteurs,

      J'ai imprimé mon 3e roman en auto-édition en attendant de trouver un éditeur pour une diffusion nationale. Le livre n'est donc pour le moment pas disponible en librairie ni sur le Net, je le distribue en direct autour de moi en répon
      se à la demande. Donc si vous voulez vous en procurer un, procéder comme suit :

      1. Adresser votre demande directement sur mon mail perso jerome.manierski@wanadoo.fr en spécifiant :
      - votre nom, prénom, adresse postale
      - quel roman vous souhaitez recevoir (car certains voudront peut-être se procurer la nouvelle édition du 1er roman) parmi A l'aube du 7e sens, Ces mensonges qui arrangent et L'Heritage des rois
      Vous pouvez grouper les demandes si vous voulez en distribuer / offrir à d'autres, dans ce cas, m'indiquer les prénoms des autres personnes aussi pour la dédicace personnalisée.

      2. Je vous réponds en vous confirmant que j'ai bien enregistré votre demande et vous donne mon adresse postale perso à laquelle adresser le paiement par chèque.

      3. Prix du livre : 20 € hors frais de port (idem pour les 2 premiers romans). Les frais d'envois en Collissimo se montent à 8 € par livre, ce qui est important (surtout que le 3e est gros, 620 pages / 750 g !), donc j'en prends une partie à ma charge et j'arrondi à 25 € / livre tout compris. A la réception de votre paiement (25€ x le nombre de livres), je vous envoie la commande dans les jours suivants.

      Vous remerciant par avance de votre confiance

      Jérôme"