Étiqueté chanteur yé-yé, l’interprète de Chez Lorette et de Pour un flirt a toujours eu quelque pudeur à parler de sa vraie passion : la théologie chrétienne. Et de son vrai moteur : la foi. Depuis quarante ans, Michel Delpech est amoureux de Jésus. Il l’a rencontré par hasard, dans ce qu’il décrit comme un « coup de foudre ». Depuis, il approfondit sa foi par des rencontres, des expériences, des lectures – ouvrages d’exégèse, écrits spirituels, corpus historiques. Qui est Dieu ? Qu’est-ce que le christianisme ? À quoi servent les rites ? Le pape ? La messe ? Quel sens a la vie ? Quelle porte ouvre la mort ? Ce sont les questions dans lesquelles il se plongeait quand il n’était pas sur scène, menant une double vie, de paillettes et de croyant. Il y a quelques mois, Michel Delpech a appris qu’il souffrait d’un cancer. Ces questions se sont faites plus prégnantes pour lui. Il a eu envie d’écrire. « Je sais, dit-il, que ce langage est difficilement audible, venant d’un chanteur populaire. Un chanteur de variétés qui lit les Pères de l’Église et ceux du désert est-il crédible ? Une star qui cultive sa vie intérieure en se passionnant pour la théologie a-t-elle le droit de dire qu’il ne s’agit pas d’une toquade passagère ? Je m’y risque quand même parce que sais que si je m’en allais sans jamais en avoir parlé, j’aurais des regrets. » Une réflexion profonde, qu’il exprime avec pudeur et légèreté…
dimanche 8 décembre 2013
Il ne faut pas se fier aux apparences
Sur ce blog je vous présenterai les livres que j'aime
Étiqueté chanteur yé-yé, l’interprète de Chez Lorette et de Pour un flirt a toujours eu quelque pudeur à parler de sa vraie passion : la théologie chrétienne. Et de son vrai moteur : la foi. Depuis quarante ans, Michel Delpech est amoureux de Jésus. Il l’a rencontré par hasard, dans ce qu’il décrit comme un « coup de foudre ». Depuis, il approfondit sa foi par des rencontres, des expériences, des lectures – ouvrages d’exégèse, écrits spirituels, corpus historiques. Qui est Dieu ? Qu’est-ce que le christianisme ? À quoi servent les rites ? Le pape ? La messe ? Quel sens a la vie ? Quelle porte ouvre la mort ? Ce sont les questions dans lesquelles il se plongeait quand il n’était pas sur scène, menant une double vie, de paillettes et de croyant. Il y a quelques mois, Michel Delpech a appris qu’il souffrait d’un cancer. Ces questions se sont faites plus prégnantes pour lui. Il a eu envie d’écrire. « Je sais, dit-il, que ce langage est difficilement audible, venant d’un chanteur populaire. Un chanteur de variétés qui lit les Pères de l’Église et ceux du désert est-il crédible ? Une star qui cultive sa vie intérieure en se passionnant pour la théologie a-t-elle le droit de dire qu’il ne s’agit pas d’une toquade passagère ? Je m’y risque quand même parce que sais que si je m’en allais sans jamais en avoir parlé, j’aurais des regrets. » Une réflexion profonde, qu’il exprime avec pudeur et légèreté…
Étiqueté chanteur yé-yé, l’interprète de Chez Lorette et de Pour un flirt a toujours eu quelque pudeur à parler de sa vraie passion : la théologie chrétienne. Et de son vrai moteur : la foi. Depuis quarante ans, Michel Delpech est amoureux de Jésus. Il l’a rencontré par hasard, dans ce qu’il décrit comme un « coup de foudre ». Depuis, il approfondit sa foi par des rencontres, des expériences, des lectures – ouvrages d’exégèse, écrits spirituels, corpus historiques. Qui est Dieu ? Qu’est-ce que le christianisme ? À quoi servent les rites ? Le pape ? La messe ? Quel sens a la vie ? Quelle porte ouvre la mort ? Ce sont les questions dans lesquelles il se plongeait quand il n’était pas sur scène, menant une double vie, de paillettes et de croyant. Il y a quelques mois, Michel Delpech a appris qu’il souffrait d’un cancer. Ces questions se sont faites plus prégnantes pour lui. Il a eu envie d’écrire. « Je sais, dit-il, que ce langage est difficilement audible, venant d’un chanteur populaire. Un chanteur de variétés qui lit les Pères de l’Église et ceux du désert est-il crédible ? Une star qui cultive sa vie intérieure en se passionnant pour la théologie a-t-elle le droit de dire qu’il ne s’agit pas d’une toquade passagère ? Je m’y risque quand même parce que sais que si je m’en allais sans jamais en avoir parlé, j’aurais des regrets. » Une réflexion profonde, qu’il exprime avec pudeur et légèreté…
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